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Qui je suis / la suite

Photo du rédacteur: Cristina RuopoloCristina Ruopolo

Coucou les amis,

Comment allez-vous ?

Aujourd’hui je souhaiterai juste me faire connaître un peu plus.

Je suis née le 7 Mars 1985. La première partie de Mars c’est le signe des poissons. Et cela ne pouvait pas être autrement car l’eau est mon lieu idéal.

Même si je suis née au bord de la mer à Gênes, quand j’étais toute petite, on allait en vacances en été un peu plus loin, dans un petit village de la Ligurie qui s’appelle Finale Ligure. On avait une maison tout l’été et on allait dans les bains sur les quais. À l’âge d’environ 1 ans et demi, ma mère avait peur que je puisse me noyer dans la mer donc elle avait acheté une petite piscine qu’elle laissait à côté de son parasol à la plage. Mais moi j’avais déjà mon caractère, et je n’avais aucune intention de rester dans de l’eau pas salée et surtout loin des poissons. C’est pourquoi je sortais à chaque fois pour courir vers la mer. Sauf qu’une fois, j’ai risqué de me noyer ! Ma grand-mère était encore avec nous et elle a dû appeler mon père pour me sortir de l’eau parce que moi j’étais bien à l’aise ou j’étais  Tout le monde a eu vraiment peur, sauf moi que je n’ai même pas le souvenir de ce traumatisme. Ce sont mes parents qui m’ont raconté cette histoire pour dire que j’ai toujours adoré la mer.

Vers l’âge de 7 ans, mes parents ont divorcé et j’ai commencé à passer une partie de l’été avec mon père en bateau à voile, entre la Ligurie, la Côte d’azur et la Corse. Je pense que ça doit être à cet âge que je suis entrée en connexion avec la mer pour la vie.

Arrivée en Suisse, c’était un gros challenge pour moi. J’ai dû me rééquilibrer, mais c’est bien pour cela que j’ai choisi St-Prex comme mon chez moi ici. J’ai appris à aimer aussi les Alpes, les randonnées et la Bise, qui est un peu comme la « Tramontana » à Gênes, le vent froid.

En 2018 un des amis de mon copain s’est marié en Ethiopie avec une fille éthiopienne magnifique. Ils nous ont invité à leur mariage. Là-bas la nature est comme avant l’homme, ou en tout cas, avant l’homme occidental. On s’est retrouvé à regarder le coucher de soleil dans un lieu magique, où je ressenti des sensations incroyables, comme si j’étais vraiment minuscule par rapport à l’environnement. Et c’est la vérité.

Bref, je me sens bien quand je suis en contact avec la nature, presque n’importe où.

Nous vivons sur cette planète en moyenne 75 ans aujourd’hui. Chacun vit sa vie différemment mais on ne pense pas trop à laisser la Terre en bon état pour les générations à venir. Il est vrai que dernièrement il y a de plus en plus une conscience sociale pour réduire la pollution, mais disons que pas mal des dégâts nous les avons déjà créés.

En lien je vous laisse ce site des Nations Unies www.un.org/en/sustainable-development-goalsavec l’agenda 2030 qui s’occupe bien sûr des droits humains y compris le bienêtre de la planète, car sans un équilibre de la Terre, même l’homme est perdant.

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Qu’est-ce que te fais tous les jours pour préserver l’environnement ? C’est pas évident dans notre vie actuelle ,mais des petits gestes peuvent faire la différence. Et je pense que surtout, en parler autour de nous, ça aide à changer aussi les opinions des autres personnes.

Avez-vous des conseils à me donner à ce sujet ? Cette fois ci de demande votre opinion !



à bientôt!


Cristina

 
 
 

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